Considérant la sidérante situation dans laquelle nous nous trouvons, j’ai décidé d’imiter les créateurs du « Parti d’en RIRE », et de dire n’importe quoi afin de rester dans l’air du temps…
Dans une première chronique je voudrais aborder la fortune et le revenu des Français.
La fortune des 500 français les plus riches continue d’augmenter en France tout comme le nombre de milliardaires. D’un côté, 1200 milliards d’€ de richesses et de l’autre 147 milliardaires.
Quand on regarde cette fois le SMIC on note qu’il se monte à 1.398,69€
Ces chiffres montrent une fois de plus l’état de délabrement de notre société… calculer des rapports de revenus entre les strates de populations est quasi impossible et les calculettes, voire les ordinateurs, dépriment et explosent avec des conséquences parfois vitales pour les cerveaux impliqués dans la vie de la société……
Avec un peu de bonne volonté, je pense que le pays des Lumières pourra atteindre le chiffre de 1600 milliards et 160 milliardaires dans un délai raisonnable. Ce rapport de 1 milliardaire pour 10 milliards est limpide et raisonnable.
Dans le même temps, le passage du SMIC à 1600€ permettrait de rendre encore plus visible les choses… 1€ d’un côté, 1 milliard de l’autre c’est clair pour tout le monde.
Enfin, je propose de garder le même rapport pour les années à venir. 1, 10, 1 c’est lumineux.
Tout est organisé pour atteindre ce Graal merveilleux permettant le rayonnement de notre société multiculturelle composée de travailleurs, parfois indisciplinés certes, mais globalement fiers et heureux de vivre dans un pays hexagonal donc mathématiquement organisé jusque dans sa géographie.
Je crains toutefois, que l’objectif du SMIC, soit déraisonnable.
Les 500 Français les plus riches les 147 milliardaires l’ont maintes fois souligné.
Je sais aussi que ma proposition sera méprisée par les économistes les plus sérieux qui nous ont menés là où nous sommes prouvant ainsi la qualité de la lumière utilisée depuis bien des années pour éclairer le chemin.
Je trouve cela regrettable…
En accolant l’évolution des richesses des uns et du salaire minimum des autres nous pourrions ainsi valider le second mot de devise « égalité ».
Quant à ceux qui disent « ça ira comme ça, ça ira… », je leur dis « ça ira oui, mais où ? »
Ce que j’en dis