La connexion est au rouge, donc la diète internet continue avec celle du téléphone fixe bien entendu… aucune nouvelle sur le délai de réalisation de la réparation…
Il y a bien la possibilité de réclamer une clé de connexion permettant de rétablir l’accès, je regarderai ce matin comment cela se réalise.
La routine du matin est modifiée. Comme je déteste « surfer » avec mon téléphone, je libère u temps pour autre chose qu’aller lire certaines stupidités sur les réseaux sociaux. J’ignore comme tout le monde comment lesdites stupidités sont mises en avant puisque, sauf erreur de ma part, les algorithmes (qui évitent de recevoir le nom d’IA…) qui gèrent les réseaux sont inconnus. Alors la mise en avant de certaines publications restent un mystère qui s’impose et entraînent des réactions qui font que les publications en question restent en position avantageuse. Elles sont alors remarquées et deviennent des faits officiels et commentés…
Ce matin, lecture du journal PAPIER régional… avec des informations locales sur toutes les actions menées dans les villes et villages du coin… la vie est intense partout… les communes s’équipent les entreprises se développent, la vie au jour le jour se déroule en continu. Très loin des agitations globales, je me retrouve avec la réalité du monde.
Les annonces des décès, les « chiens écrasés », les routes bloquées par les agriculteurs à deux pas de chez moi, les tournées de ramassage des ordures ménagères, les « City-stades » indispensables à la survie des villages sans doute, le terrain de foot détruit par des imbéciles qui ont fait un rodéo en voiture, et quelques autres épisodes de la vie en communauté…
C‘est reposant de voir que la vie continue et au lieu de me sentir « isolé du monde » je me sens plutôt « protégé » ou « préservé » du monde… C’est cela j’ai l’impression de « flotter ».
Programme du matin, écouter les « nouvelles du monde » sur ma radio favorite, écrire quelques pages sur mon projet de livre sur l’innovation, reprendre un tableau dont la première ébauche est désormais sèche… je vais encore manquer de temps pour faire tout cela…
Ah ! si ! la bêtise est quand même venue chez moi ce matin… une publicité glissée dans la boîte aux lettres par un agent immobilier du coin avec un superbe titre :
« Et si on vous parlez un peu de nous ? »
Si les acteurs de l’entreprise sont aussi efficaces dans leur métier que dans la relecture de leur publicité, j’éviterai de m’adresser à eux pour vendre ma maison…
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