Woman is the nigger of the word…

Une chanson qui m’a beaucoup marqué…

C’était en 1972, à une époque où j’allais avoir 20 ans…

Certaines radios ont refusé de diffuser cette chanson car il y avait le mot « nègre » dans le titre…

C’est une chanson, imaginée par John Lennon avec son épouse Yoko Ono. Le titre est issu d’une phrase prononcée par Yoko au cours d’une interview… c’est une chanson qu’il est nécessaire d’écouter une fois encore ou de découvrir tout simplement. J’avoue qu’à cette époque, j’avais apprécié le sujet traité sans réaliser vraiment que le progrès universaliste, que je croyais inéluctable, allait se fracasser sur la réalité de la bêtise humaine !

Pourquoi parler d’une vieille chanson ? parce que je suis hyper énervé après avoir lu un excellent article (voir https://doi.org/10.1038/d41586-024-02626-9 ).qui décrit la situation des femmes sous la férule d’une religion !!

La religion, vous savez ce truc inventé par les mâles…

De manière étonnante, qu’elles soient monothéistes ou polythéistes, les religions rappellent sans cesse la supériorité de l’homme sur la femme…

C’est normal… les religions se sont construites à une époque où la force physique était le seul argument intellectuel utilisé… « t’es faible ? ta gueule ! » pouvait être la devise de ces moments difficiles !!

A cette époque, les guerres tribales étaient générales…

En Europe on a beaucoup progressé puisqu’on est passé aux « indépendantistes ».

C’est la même chose que les tributs mais c’est moderne… !

Là aussi, la tendance est à morceler les pays trop grands et trop peuplés pour libérer les tribus, pardon, les régions possédant des populations régionales motivées pour être indépendantes des autres populations régionales, qui sont, il faut bien l’avouer, moins… moins tout !

La politique s’est depuis toujours appuyée sur les religions et les armées pour continuer le processus de domination. Ce qui s’appelle « le sabre et le goupillon » expression que j’avoue n’avoir pas compris il y a quelques années, maintenant c’est fait !!

La nostalgie de cette époque est toujours présente chez les mâles qui sont moins dominants désormais. Le balancier va en toute logique se déplacer en leur faveur…

Alors, profitons du bon temps de l’universalisme et de la recherche de l’égalité entre les hommes et les femmes.

J’en ris, j’en pleure…

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